Voici, ci-après quelques messages que certains ont voulu particulièrement adresser à Jean-Louis Blard :
De Gérard Timon :
» Comment ne pas associer Jean-Louis BLARD et André FAUBERT.
Je les ai souvent vu tous les deux.
Des amis de longue date, des complices dans la joie et dans l’étude.
Des complice dans le ressentit des choses de l’énergétique, dans l’art de faire simple ce qu’ils vivaient et pour leurs étudiants et pour les consultants. Et la joie de vivre sur les sujets les plus épineux et philosophiques.
Je leur souhaite de se retrouver dans la même chambre que d’autres qui se sont tant intéressés aux choses chinoises, entre autre leur ami commun Charles LAVILLE-MÉRY, mais d’autres aussi dont certains que nous rencontrions dans divers congrès et réunions de travail.
Ils vont avoir des choses à se dire sur les sujets de leurs chères études, et peut-être enfin avoir réponses à des questions qu’ils n’ont cessé de se poser à propos du » Dao « , des énergies diverses, de la vie, et de l’amour.
Merci à eux de nous avoir accompagnées dans notre quête personnelle, et s’il leurs est possible de nous aider de là où ils sont, qu’ils ne se gênent pas, nous les écouterons encore.
Merci à vous tous, et merci à toi Jean-Louis. »
De Daniel Laurent :
» Mauvais jour que d’apprendre la triste nouvelle !
J’ai commencé à étudier l’acupuncture avec André TIMON et Charles LAVILLE-MÉRY en 1970, puis avec André et Gabriel FAUBERT en 1972, et c’est par eux que j’ai connu Jean-Louis.
Nous n’étions pas intimes, mais je l’ai ensuite rencontré au cours de congrès et autres réunions professionnelles, à l’époque où je les fréquentais.
Jean-Louis faisait partie de ces pionniers que j’ai admirés et respectés. C’était un passionné, un artiste et cependant un perfectionniste. Après André TIMON, Charles LAVILLE-MÉRY, André FAUBERT, Claude LARRE, c’est aujourd’hui Jean-Louis qui est passé à l’Orient Éternel, au paradis de la Tradition !
Il nous manquera. Je me joins à sa famille et à ses amis par la pensée et par la prière. »
De Jean Motte :
Haiku pour Jean-Louis,
» Le papillon vole,
La terre s’agite et s’ouvre,
L’homme sage leur sourit,
Le printemps panse ses plaies,
L’Homme va, son coeur nous reste. »
De Guy Rossillière :
» J’ai en mémoire un repas au restaurant où nous étions tous les deux face à face. J’ai été subjugué par ses connaissances et la simplicité de cet homme remarquable.
Je lui avais dit : » Jean-Louis écrit un livre, ne garde pas tout ton savoir pour toi… »
Simplement il m’avait répondu : » Je ne sais pas écrire… »
C’était Jean Louis…. »
Amitié.
De Philippe Chomicki :
» Jean-Louis,
Je te connaissais peu. Quelques cours, séminaires et congrès. Week-end de pratique chez toi à Épernay. Promenade dans les rues d’Aix… Il est des rencontres qui valent des instants d’éternité !
Je suis heureux que le Ciel nous ait permis de croiser nos chemins dans cette simplicité qui te caractérisait.
Paix à Toi, Jean-Louis. »
De Pierre Lepley :
» Cher ami,
Un mot en mémoire de Jean-Louis.
Ancien élève de l’IETC, j’apprends avec émotion et tristesse son départ. Nous avons pu, au début des années 80, découvrir grâce à lui les chemins de l’énergétique chinoise par le Tai Ji Quan et l’acupuncture.
Sa passion pour cette sagesse a répondu aux questions que je me posais, un peu plus de vingt ans plus tard, elle est toujours présente dans ma vie. Il y avait ses qualités de coeur et son sens pratique de l’efficace à rechercher, il y avait aussi les qualités de tous ceux qu’il nous a présentés, Annick tout particulièrement, le Père Larre, Jean Schatz, Elisabeth Rochat et Thierry Bollet, tous garants du meilleur de ce qui pouvait être étudié et transmis.
Je l’accompagne de mon amitié et de mon respect.
Amitiés à vous. »
De Pierre Faure :
» Une simple pensée, amicale et lumineuse, pour Jean-Louis qui a partagé avec nous la parole de Mounir. »
De toute l’équipe des Etablissements Phu Xuan :
» Depuis 25 ans, nous avions le plaisir de voir régulièrement Monsieur Jean-Louis Blard qui est devenu notre ami.
C’est avec une vive émotion que nous avons appris sa disparition et nous ne pouvons que nous souvenir de sa profonde gentillesse et de sa générosité. Il va nous manquer… »
De Jacques Pialoux :
» So Ham
Merci à toi. «